1 mai 2013
3
01
/05
/mai
/2013
01:38
Une photographie pour chaque frontières
Clandestinement électrique en semi-automatique
allier l'éphémère & l'infini
Diaphragme de la vitesse de nos yeux
devant le poste de TV des mouches
chaînes du chateau des pauvres
Je coupe la pellicule pour une spire
à la rondeur des seins nouveaux
à la fissure à la meurtrière
je pleurs les yeux ouverts de ce qu'il me reste
la tristesse!
De mes sardines en boîtes pharmaceutiques
de ma langue que je perds sur le séchoir gothique de ton monstre
Au bar de la flèche cupidon trainais sa plume
& le gigolo à la farce de son nez
rouge comme mes pieds
Je rêvais de ta cloche comme d'un gong
en suspend entre les stations
Correspondances de l'amour inventé...