Une fée du bocal est chez moi et je l'aime
N'ai pas de camps à choisir devant vos dilemmes
où la guerre n'a pas de roses au vent d'amour
Devenir reporter des lonely poors
Zen émoi la photo du jour est sud Vietnam
et l'enfant que tu portes à quatre dames
Il est né d'une solitude croisée sur la route du serpent
et son venin est sur la page
L'encre des puissants
A ma troisième vies je dois attraper un crotale
Improviser la musique du silence pour ton bal
Sais tu qu'à nous trois l'horizon nous trouve génial
Toutes les statues rigoles de notre danse pas banale
Mais les couteaux nous font peur avec nos cuillers
Les cocktails d'ivresses saines au sang d'une prisonnière
Et à l'index des mutants Monstre gentil Nos dents
sont grises de soleils noirs On vous ment gentiment!
Ma cithare est entre les remparts de ton rire
qui me porte comme pour amerrir
sur le bleu triste de la joie douce
des fleurs du mal quand nous parlons à la pousse
que notre enfant à planté dans le désert
Près du roc des voix qui couvrent l'air
Bona annada Corto Nous dansons
En réponses à tes richesses d'imaginations...
En suspension avec les nues de la petite fumée
que tu nous appris à fumer
Bona annada Nous ne voulons plus être tourmenté
Par des gens dans un confort sur nos arbres déracinés
La télé me parle comme un bébé aveugle et sourd
qui a pour route un centre ville avec ses lumières
comme un bizness sur la culture vivante mais à la mer
Et la bouée que nous lançons est une lutte
pour qu'un jour nous puissions sortir de note hutte
En pensant aux fleurs que tu lances pour de bon
Un messager joue de la basse et c'est bel et bien bon
Avec les aigus dans le ciel de nos brasses
Aux vents de tes messes basses
Apprends à savoir ce que tu as dans le dos
Sans paranoïa Juste avec ton oeil si beau
Nous sommes bien trop souvent guidés par la peur
Mais notre girouette donne très bien l'heure...