23 avril 2011
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Carnet des retours sur le vent
Le moteur blanc
Écriture automatique de la traverse
Longue marche sous l'averse
"Le chemin comme un torrent sans souffle"
Ni commencement ni fin je souffre
Précipitation de mots pour des choses
Dans ton fauteuil tu fais une pause
Plus de démarcation entre le dehors & le dedans
Tu marches au-delà des ans...
D'un individu menacé dans sa survie
Avec une page qui cri
Dépaysé comme un appel
"Que mon poème serve de route à ce que je ne connais pas"
J'avance l'air oblige de marcher la the nana
Mais où avancer Il y a des obstacles quelques fois
L'empattement de la parole pour une éclaircie
Je suis claustrophobe mais je survis
Il y a beaucoup de sens unique
& c'est très inique!