Au jeu de la vie et de la mort la vie est une bougie... La cire à des ailes d'ange et le feu crépite droit comme la cire de mon âme qui se consume !
Au jeu de la vie et de la mort la vie est une bougie... La cire à des ailes d'ange et le feu crépite droit comme la cire de mon âme qui se consume !
Remise à flot du navire... Tu es à la poupe, je suis à la proue... Excuse moi pour la main que je n'ai pas tendu... Je rêvais d'un sommeil de plomb...
Pourquoi ce caban ? Parce que la houle des mauvais jours et des beaux jours... Oui mais la solitude... Je suis un passager du vent...
La terre a des odeurs... L'argent n'a pas d'odeur... J'écoute le vent qui balaie les troubles et je regarde ces nuages là bas avant l'orage et les flashs qui éclairent la nuit transitoire...
Main verte du saule pleureur... Nuit des étoiles filantes le serpent se mord la queue pour un cosmos de rires sous la constellation de la lyre... L'oiseau est voyageur seul guérison !
Le ciel est un verre brisé... Un cocktail qui se répand sur la terre... Ivresse de ma gnole... Le fleuve est rouge sang de souffrances... La mer une étoile noire... Et les murs bougent...
J'étais courant d'air... Tu étais courant d'air... Et l'ont se croise nuages...
Cette cicatrice d'une boucle de la lune... Je suis trop loin pour toi soleil... Nuit d'orage dans la rose des vents... Pluie chaude et douce pour se laver dans le torrent du ciel zébré d'éclairs... Je ne sens plus le sang j'oublie peu à peu un autre enfer à cordes sur ciel... Vent debout au grand air dans le hamac... Au bout de la jetée les pêcheurs d'arc en ciel... Et sur le chemin de fer un harmonica blues...
Quelque chose est perdue à jamais... Quelque chose restera toujours dans mon cœur voyant... Sur les flots de l'incertitude... Quand à savoir ? Les jamais et les toujours...
J'ai la beauté du diable et sa laideur... Un lacet près du cœur... Justice divine sauve moi ! Je suis un crapaud noir ou une blanche colombe...