Mes yeux de feux chatouillent les étoiles
On n'empêche pas les oiseaux de chanter
Mes yeux de feux chatouillent les étoiles
On n'empêche pas les oiseaux de chanter
Un moment j'ai oublié avec ma guitare... tout est à refaire... Des pieds à la tête...
L'ice phénix à fondu... vais je renaître dans le corps d'un homme & laisser mon enfance...
Je repars à zéro dans ma quarantaine...
Que de souffrances... que de larmes!
J'abandonne c'est trop & la coupe déborde de mots...
Epuisé le jour d'hallucinations auditives... la nuit je reprends haleine dans le silence & la musique...
Et dans l'écriture aussi!
Cerceau de feu voilà l'été dans mon cirque
Des cris d'enfants
(...)
J'suis bancal à la verticale
Attendez moi j'ai une bougie qui s'habille!
(...)
J'ai de l'eau jusqu'aux genoux dans cette mer grise
tout flotte dans ma chambre
& je fais des arpèges sous la pluie de mai
avec mes horaires impossibles
Pourrais tu survivre sur ma planète?
(...)
Le cyclone va t'il enfin passer!
Ciel bleu Tercian
j'ai déserté mon lit
Suis je sur le bon chemin? Le bon sentier?
J'hésite entre téléphoner à S.O.S Amitié
Aller au centre médico-social
ou boire du rhum?
(...)
J'suis devenu comme un lion dans sa cage!
La gueule grande ouverte attendant la pluie...
(...)
Un stop au septième ciel?
Rêvant d'étoiles... je me demande ce que j'ai fait à l'univers?
Ange blanc... Ange noir...
Elle a vécu ses sept vies... Il me faut retendre le fil...
Dans mon shilom il y a un scarabée d'Egypte
& les mamelles de la vache sont de l'absinthe
mais je devrais faire voeux de silence!
(...)
Y'a t'il du nouveau dans l'inconnu?
J'ai traversé le mythe de l'action... de l'auberge... de la caverne...
Reste un chapelet Grec sur un Pater Noster
Au nom du père du fils du saint esprit
& de tous les Bouddhas du monde
je veux guérir!!!
(...)
J'entends des rires dehors & ça fait du bien à ma nuit...
& je veille la langue arc-bouté
prêts à décocher une flèche de mots!
(...)
& l'horloge sonne l'ivresse...
Elle m'enveloppe de sa peau chaude & douce
me réchauffe le corps quand je tremble
quand je suis sur le point de vomir un trop plein d'alcool
Entoure moi encore de tes ailes mon ange!
Ma mère a un coeur sauvage
pluie de mes fleurs
Deux étoiles sur le balcon
& un arbre nu qui attend pour s'habiller
"Veuillez parler à mon flipper mon juke-boxe est malade."
(...)
Reste plus qu'à coupé les ponts?
Partir m'est aussi déraisonnable que de rester...
La cuisse de Jupiter? Si je meurs tu meurs?
Je reviendrais dans le corps d'un chat crade? Lola où es tu?
Mes oreilles sifflent du voltage...
Se reverra t'on les cheveux blancs?
Un drame se prépare t'il?
Qui rira bien rira le dernier...
Oh! Je sens le sperme ce soir!
C'est l'hiver qui traîne avec ses vielles chaussettes salent
Au chaud habillé dans mon duvet la fenêtre ouverte...
Souviens toi quand je m'allongeais sur le bitume
Zone de turbulence j'ai conjurer le sort de ces imbéciles!
Pilotage automatique ils perdront la tête!
Mon corps est lourd maintenant... & je rêve
d'un jour meilleur!
Nous ne sommes pas des boeufs!
coulant le noeud...
Mais le cri des enfants dehors
moi je suis un mort-vivant
un zombie du sort
depuis trois ans...
J'ai perdu le fil
suis-je trop fragile?
J'ai plus l'aiguille
je suis une anguille
Saigne des mots
à nos maux
La blessure est ouverte
muse verte
Combat de baratte
mange tes pattes
A l'eau-de-vie
j'écris....
Points de sutures
mots coutures
Au secours le jour
manque d'amour
The last one
cigarette en panne
Changer le boudin
demain matin
Elle coule la seine
sur ma peine
Avril ensommeillé
rêve je fais d'ajourner!
J'aime bien le jour mais il me fait trop souffrir...
Le ciel me crache à la gueule!
& j'ai envie de dormir de tout mon saoule
Mon coeur est vide est froid... je suis aveugle...
Mon nom est personne...
& je dois me refaire une raison...
Je n'ai que la nuit comme notre dame des tristesses
enveloppe moi de ton silence musical pour appuyer la note de mes défaites!
Je n'ai plus rien à perdre sauf mon toit
Personne ne me comprend & j'ai appris beaucoup la nuit
quand en écrivant à l'heure bleue aux chants des oiseaux
Libre... libre... libre...
Je suis un oiseau de nuit! Un hibou! Un petit Duc!
Ma seule richesse est le noir brillant!
La lame du poignard est blanche
comme celle que j'ai dans le coeur...
Dégoûté des humains j'aime ma solitude
même si elle est rude quand le soleil se lève
Je vous maudits! A parts les damnés!
Je n'ai nulle porte de sortie dans ce labyrinthe
alors je retrouve la nuit dans mon coeur blessé
A la bougie...
Non le jour trop de souffrances! Je suis inadapté chronique!
& je je ne céderais pas à la violence ni à la haine
La nuit j'aime la fraîcheur & les douces lumières
Le clair obscur de ma chambre...