Allah snack bar je n'aime pas le sport Yin Yang je porte bonheur & conjugue le verbe aimer Mais du petit peuple des oiseaux fume mon narghilé bois du p'tit lait d'alcool déchire le voile des illusions dans mon clair-obscur de hibou au no man's land.
A qui perd gagne j'ai joué je suis pauvre & riche petit & grand miel encens bougies je pense à toi si loin & si proche de moi...
Oh ! Mama ! Si tu savais par quel état je passe... mais tout comme toi je survis hélas ! Entre délire... pleure & joie... mais mon âme est en peine Destruction ? Désintégration ? Je ne sais qu'une chose... la mort est dans la vie.
Les cheveux sont des plantes & l'été est la forge du soleil Vol incertain d'acier trempé trous d'airs des avions de doses
Mémoire de l'eau sur ondes hertziennes, sur ondes Martenot... Toujours à l'argentique dans mes circuits électriques... Avec pour batterie mon coeur !
N'y pense plus !je rêve donc je fais ! Il est came Léon aux couleurs de l'arc en ciel... Flash des fenêtres et tuyauteries des chambres... L'escargot attend son cargo de nuit... Est-ce que je peux en un cri partir loin d'ici !
Improvise un autre ciel dans ce désert... Une autre étoile dans les yeux du cheval... Trouve et ne cherche plus dans le malheur... /... Improvise un autre ciel à la crinière de la joie d'une petite route sous la lune et le soleil nouveau...
Nos chemins vont se croiser pour une liberté! Nos chemins vont se croiser pour une vie rêvée! Nos chemins vont se croiser sous la voie lactée!
J'ai besoin qu'une main prenne le mienne pour m'emmener quelque part... (...) Bien souvent ma tête a dit non & mon corps a dit oui Bien souvent mon corps a dit non & ma tête a dit oui Aujourd'hui assis au bord du vide j'ai retrouvé mes esprits & ma boucle...
Esclave de mon isolement de ma solitude... Bruits de portes Bruits de clefs & cette ascenseur... Mon coeur bat mais le monde & hors de porté de moi...
Pense pas à mal didi on the water ! J'ai eu trop mal aux oreilles ma couille... Est ce que tu veux venir un week-end chez moi ? On boira de la bière jusqu'au matin Sur de la musique des années perdues Allez ! Viens ! Même si tu perds ta langue !
La dans rituel du feu très tard Imposition des mains Cathares Sous les salauds inquisiteurs Je brûle de ma richesse intérieurs
La sueur sèche sainement à la bougie la tête pleine de poésie... Et la fenêtre ouverte au matin je pense aux saints des seins... A l'amour des mots Venus !
Elle me mord les yeux comme le soleil d'un torrent rouge... Elle rêve d'amour parfait "mais quelle âme est sans défaut"... Dis moi ce que l'on va devenir après nos combats et nos guerres... Peut être des épaves ? Peut-être des braves ?... Je ne suis qu'amour...
Une larme froide à l'œil partout chante la mort ! J'ai changé de maison mais suis à la même place... Une angoisse est passée mais où suis je donc ?
Pierre du soleil le serpent noir a eu peur de moi... L'aigle bleu à la lumière blanche m'a sauvé !
C'est dommage le funambule est tombé dans son habit de lumière un jour de cimetière, au rendez-vous de la terre...
Le vent n'efface pas les souvenirs... Un mort sort de sa tombe et s'en va mourant sur un autre amour, une autre vie...
Au jeu de la vie et de la mort la vie est une bougie... La cire à des ailes d'ange et le feu crépite droit comme la cire de mon âme qui se consume !
Je n'ai plus confiance en moi à part aux chants de la terre des oiseaux de la lune des étoiles d'un soleil qui rechauffe les os... Je crie seul mon amour la nuit le jour...
Je libère mon esprit, je me régénère sur la page entre l'amour et la mort... Ma tête sage sur ton épaule d'encre de folies absurdes... Quand je n'ai plus rien...
Noire étendue de la plaine d'une nuit encore sans lune... Douceur & quiétude...
Je n'aime pas me coucher... J'aime rester éveiller et je rêve d'un ailleurs avec simplicité... De partir calme et serein sur les chemins et les mers... Dans le chant des étoiles et des oiseaux...
Le temps d'une danse... Bain de foules et no man's Land... Photographies du rien... J'attends encore et toujours le rare amour..
La terre parle et crie et le grand air fait fumer le calumet de la paix... Et moi aujourd'hui qu'est-ce que je suis ? Cui-cui Cui-cui