J'oublie que je ne pense plus du tout... Le ciel est une mosaïque de miroirs et je n'ai jamais aimé entièrement... Rêveur j'ai contemplé admiratif... Un peu beaucoup passionnément à la folie... Mémoire ma flamme tremble !
Les feuilles mortes se laissent porter par le vent...Le temps passe et trépasse sur mon humeur vagabonde...
Puzzle inachevé incorrecte... J'finis les restes de mon cerveau... Banquet de kilomètres sur le plaisir et la tristesse...
L'arroseur arrosé les sourcils en accent circonflexe... Notre dame des prières sous ton masque de fer le cactus fleuri et je survis...
Au clair de lune balade nocturne... Une chouette hulule... Minute papillon une étoile s''est éteinte et j'allume une bougie...
J'ai les tripes qui gargouilles et ma tête fait du bruit, alors un medecine poème pour ce boucan d'enfer... Trouver le silence musical dans les lignes d'une lettre...
Je suis dans ma merde, sa bouche s'est mon trou du cul... Quand elle sourit je pète... Quand elle rigole je chie...
Dans son ambulance je saigne des yeux sur nos prisons et les éboueurs passent...
J'me suis pété la tronche de folles sagesses à la radio avec mes antennes desesperado... Aller encore un punch ! Dans les limbes d'une île déserte avec ma peau de crocodile...
L'oreille qui ne retient que l'image... Les yeux qui goute le visage... La bouche de la bête comme un paysage... La main écoute la folle et le sage...
Un train de nuit passe et le petit oiseau va sortir... Sonne les cloches il est borgne sans eau de vie sans marc du Berry...
Un géant lege qui danse avec un hibou la sarabande... Mais dites moi combien ça coûte l'amour qui casse la croûte, le sol en béton de nos armes quand il ne reste que les larmes...
Je marche sur le trottoir ensoleillé en jongleur de mots rayons... Que les matins sont horribles sous le kaléidoscope des fleurs...
Cœur arraché... Zone rouge... Quarantaine et pavillon à tête de mort... Au cimetière je pars ce matin...
Le poing en l'air j'aime me coucher au zénith... Et que les bons vents me portent....dans un mois c'est l'hiver... Les mouettes sont revenues... Les bains de foules très peu pour moi !
Aiguille de feue dans ma coquille d'or et d'argent vif... Foudroyé cette nuit je repense à son cœur qui se bat ! Au loin...
Son beau miroir s'est brisé en mille morceaux comme la parole de dieu... Elle est passée de l'autre côté... J'ai tendu la main en vain et l'orchestre continu de jouer...
Fleur sacrée... Des étoiles pleins les yeux je regarde le nord au sud dans le froid et la flamme qui monte mes sœurs... Par ce jour à la bougie...
Par la cime des arbres je me suis évadé ! Par la rivière à traverser j'ai rêvé ! Mais la bataille fait rage et je me réveille en nage...
Fermer la porte à tous nos maux ! Ouvrir la porte à tous nos désirs ! Instantanément comme ça !
Le vaisseau est bleu mais l'orange est amer.
Échappé des flammes de l'enfer... Son amour est si dur ! Qu'elle s'est transformée en statue des retours en arrière...
La cage est ouverte mais je perds mon contrôle... A deux doigts de L'HP... Il faut que je me ressaisisse... Le ça et le pourquoi moi ? Chute libre vers le n'importe quoi !
Tourneboulé je suis... Bad trip et ce qui suit... Du tragique au comique il n'y qu'un pas !
J'ai besoin d'un peu d'amour et pleure mon cœur fendu... En morceaux qui veut me ramasser pour faire un feu de joie... Et mes cendres jetaient les dans une rivière bleue !