27 novembre 2012
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Zen dans ton intérieur tu sais maintenant que je suis allé trop loin... aller simple dans le monde des survivants... c'est l'image que j'ai... Ce soir entre ces lignes seras tu me prendre la main... au fond je cherchais la félicité avec des mannes nourrissantes... mais je me suis trompé, ce que je prenais pour suprême était ton dédain... Emmène moi loin de la torpeur comme un enfant avec une pensée sans expérience... Donne moi quelque chose à croire, nous sommes malades de solitudes avec un brin d'espoir en la vie... Je t'aime & ne veux que ton bien... & le poème qu'un fantoche griffonna la nuit recherche du temps... Une âme dans un corps... Expérimentons l'espace & l'attention... Ta terre promise aux exilées...