Poésie
Je n'aime pas me coucher... J'aime rester éveiller et je rêve d'un ailleurs avec simplicité... De partir calme et serein sur les chemins et les mers... Dans le chant des étoiles et des oiseaux...
Noire étendue de la plaine d'une nuit encore sans lune... Douceur & quiétude...
Je n'ai plus confiance en moi à part aux chants de la terre des oiseaux de la lune des étoiles d'un soleil qui rechauffe les os... Je crie seul mon amour la nuit le jour...
Je libère mon esprit, je me régénère sur la page entre l'amour et la mort... Ma tête sage sur ton épaule d'encre de folies absurdes... Quand je n'ai plus rien...
Au jeu de la vie et de la mort la vie est une bougie... La cire à des ailes d'ange et le feu crépite droit comme la cire de mon âme qui se consume !
ça reviendra la poésie comme un cri! un oiseau de nuit XXX Une rose orange dans le ciel la nuit vient la cueillir XXX
Le vent n'efface pas les souvenirs... Un mort sort de sa tombe et s'en va mourant sur un autre amour, une autre vie...
C'est dommage le funambule est tombé dans son habit de lumière un jour de cimetière, au rendez-vous de la terre...
Pierre du soleil le serpent noir a eu peur de moi... L'aigle bleu à la lumière blanche m'a sauvé !
L'optimisme à l'eau de rose L'optique au sel d'argent Parfois j'étouffe alors je fume dans cannabis street Salut vieux crapaud noir Salut blanche colombe les hirondelles changent de trottoir & le cartoon en noir & blanc ressemble à mon présent qui astique...
Alors serpent à plumes il me faut muer comme dans ma jeunesse Métamorphosé en trouvère & jouer de l'harmonica des mots pour conjurer le sortilège Le piège de la maladie d'amour...
Une larme froide à l'œil partout chante la mort ! J'ai changé de maison mais suis à la même place... Une angoisse est passée mais où suis je donc ?
Parle avec la mer parle avec le vent parle avec le feu parle avec la terre Je vis... je meurs... je né... mais je ne parle plus... Joue ! T'es oreilles sifflent !
Black spider dans l'évier, je vomis dans la toile de la bière et mon sandwich... Ça lui fera des vitamines.
Une poutre met tombée sur les reins le premier chant du corbeau du matin Maintenant il faut sécher mes larmes & retrouver un peu de charme Visage lunaire avec des cratères si pâle des nuits passées sur terre & marqué par les jours de souffrances je rêve...
Je suis un oiseau qui a peur du jour & je me suis trompé mon amour maintenant je suis guidé par la peur & ne peux sortir de cette torpeur Une femme danse dans un cercle de feu moi le scorpion je me pique mais je peux voir briller tes yeux dans l'ombre...
Je suis un fantôme Hou! Hou! Hou! Avec de lourdes chaines Clic! Clac! Clic! Clac!
Un baiser à la lune & à l'oiseau Avec aux fontaines de l'eau Mes larmes mon sang vont là-haut Un vent que je vole aux mots...
J'ai joué de l'harmonica sous un soleil rare... Un train passe... Sur la colline boisée, noire & marron s'étend le silence des arbres & le chant de quelques oiseaux remontent jusquà mes entrailles... Lever les yeux sur les troupeaux d'idées neuves? Des...
Rendre fluide la page... Routes & déroutes de portraits mes plusieurs & moi sur le réacteur pour mettre de l'essence aux vues de l'esprit... Mon animal domestique est une mouche... elle reste sur mon abat-jour (...) de cet amour pirate...
A l'épreuve du feu! Douze consolations Activité Inertie Harmonie Arbre de vie Etoile sur la tête Imposition des mains Imposition de la lumière Barbacane de mes mots Consolament...
Petite tête & sève bleu Mais la femme a la cruche sur sa tête dans le port pour son marin Qui a dessalé Qui a bu la tasse Alors lettre à Mis Stone.
Sur la tente Coule l'eau lente & goutte à goutte J'enlève mes croutes Alors v'là qu'je saigne Guitare tu es mon peigne Entre les quatre piquets D'un comptoire déluré.
Parfois à la croisée des bois Je n'ai plus de voix Je n'ai plus de foi En qui croire dis moi? Sinon en toi Parfois à la croisée des bois Je me perd sous mon propre toît & je ne veux aucune loi Pour mon totem Gueule de bois.
Epistolier de mon premier amour, Trisckélisé de mon second amour, Angélisé de mon troisième amour; J'ai l'empreinte & la trace de trois coeurs dans la main, & dans les lignes du destin la tristesse d'un amour qui prend fin, fin.