2 août 2008
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12:27
"J'ai ça dans la journée pour toute la tête"
Débloguer sur mon blog
- J'crois que cette année je ne passerai pas le contrôle technique!
...
Y'a pas de crocodile sur l'herbe Talent d'amour
Mais dans tous les cas il ment
Alors que faire? De la psychologie?
Published by jerome foulatier
31 juillet 2008
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14:00
Je brûle pour vous
Sophie vide le bar
Moi j'suis fou
Elle boit son désespoir
Je brûle pour vous
Sylvie fume sa ganja
Harmonica au cou
J'allonge le pas
Hasta luego
Go! Go! Go!
Je brûle pour vous
Buenas dias Nina
Au jardin je joue
Carlos Castaneda
Je brûle pour vous
A l'eau Elisa
Bouée de sous
& aux buddléïas
Hasta luego
Go! Go! Go!
Je brûle pour vous
Buenas tardes Linda
Au café les poux
& poisson-chat
Je brûle pour vous
A domani Sylvia
Le gentil toutou
Est encore en bas
Hasta luego
Go! Go! Go!
Je brûle pour vous
Nadia dort là-bas
Tandis que je couds
Ma plaie guitara
Je brûle pour vous
Toi je ne te connais pas
Ma chanson de nous
Prend Donne s'en va
Hasta luego / Go! Go! Go!
Published by jerome foulatier
31 juillet 2008
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13:44
Je m'amuse les deux
Deux antidotes deux yeux
Quand aux troisièmes
Je le veux sur la cinquième
Dimension Mon coton ma laine
Ah! Les dents les chaînes
J'embrasse tout de même
Comme un cheyenne
Tu m'as dis à tout jamais
Toujours j'ai aimé?
Au sortir de ma caverne
Je te discerne
Puis labo-rat-story
Tu cernes mes cris
& je révèle ton infini
& je fixe ta vie
Hors champ mon rêve
Une vague à la sève
Tu m'as dis à tout jamais
Toujours j'ai aimé?
Tant de points de vues
Assis dans la rue
Plongeante tu es nu
Contre-plongée j'suis cru
Annulaire papillon
L'éphémère pour de bon
Je reste à l'ombre
De ton soleil sombre
Tu m'as dis à tout jamais
Toujours j'ai aimé?
Film black and white
Cartoon all right
Il tombe du feu
Sur mon chevet creux
Je lis les poètes
Elle rit la mouette
Tandis que le gypaète
Trouve ça chouette...
Tu m'as dis à tout jamais / Toujours j'ai aimé?
Published by jerome foulatier
31 juillet 2008
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12:23
Pied photo Pied bot
& flash de tes crocs
Encadrée la gouttière
Bruits de tes fers
Nos chaines au bout d'une ancre
Bar en transe pour le cancre
Au fond près de la fenêtre
Conjuguer le verbe être
Chat blanc Chat noir
Où veux tu que je loge mon désespoir?
Papille amer
Papillon de mer
Faut louvoyer en société
Avec des boîtes des clefs
Mon songe est un voilier
Quand j'écris sur l'papier
Amour amour liberté
Chérie j'y vais!
Chat blanc Chat noir
Où veux tu que je loge mon désespoir?
J'ai pris la vitre & le vitrié
Tu vois moi aussi je fonçai
& je m'en remets à tes yeux
D'as & d'acier
Le musicien marine
Dans son jus son gin
Terre! Terre! Terre!
Fin délétère...
Chat blanc Chat noir
Où veux tu que je loge mon désespoir?
Du jardin aux buddléïas
Je fais quelques pas
Entre l'ange & la croix
où ai-je une voix?
Un démocrate m'annalyse
Dead or dead ma catalyse
Peinture surréaliste & divinatoire
Avec un oeil pour toute histoire
Chat blanc chat noir / Où veux tu que je loge mon désespoir?
Published by jerome foulatier
30 juillet 2008
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18:31
Entre terre & mer je ne sais comment m'accorder... ça passera... Je reste en suspend entre l'arbre & la vague...
Me suis trompé aux salages...
Me rasant le jour du poisson... Me coupant le dimanche... Salop le lundi... Enfant le mercredi... Rage le jeudi... Et le mardi & le samedi?
Ce que j'aimerai bien faire, c'est un bestiaire...
Angel Fire!!!
Published by jerome foulatier
30 juillet 2008
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18:27
Le soleil ne joue pas aujourd'hui... Frisson de bas en haut... Toutounet change de rythme... Elle me dit qu'il faut t'avoir de la joie! Je reste aux corneilles...
Les filles s'épouillent...
Les chiens pissent...
Published by jerome foulatier
30 juillet 2008
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18:06
Flaque de sang sur le chemin... "Je le savais" Tu l'avais surement rêvé...
L'année dernière j'étais bleu, cette année est orange... Complémentaire droit de (i)...
Au jardin royal au frais des coutures, la lumière joue des feuilles mortes... Instantanée de l'ombre aux vents de ta rose... L'année prochaine mes habits seront noirs comme ce verre que l'on brise par dessus l'épaule... Marcher droit, voilà mon nomadisme quand je suis pris de vertige sous le tableau de l'apocalypse...
50 cl d'Oxit pour me transporter au delà de l'hallucination... "Va t'elle encore déconner?" Mes fils se touchent sur la toile... Y'a un truc qui fait masse! Et la massue de ma caverne s'abat sur l'écran... L'air de rien la plume vaut bien la carcasse quanq tu sonnes avec ta serviette éponge... Le bain de minuit nu sous les astres, photographie de ton phare du bout du monde... J'ouvre les bras comme un diaphragme avec les mains durs & sensibles de tous les combats... Ma prétention est aux harmonies & c'est toujours une guitare dans le dos... Mes lèvres sont épaisses mais vous ne savais pas à quel point je hais... Mais à quel point j'aime aussi, moi nègre blanc sur la portée du scandale...
"Bon voyage, une sirène retentit" Mais ce sont les pompiers...
"Excuse moi j'avais des murs" J'ai flingué ton coeur parce que je ne suis pas un bijou... Moi éphémère, je ressemble à cet enfant qui danse un pied sur l'autre, de droite à guauche, de gauche à droite, d'avant en arrière, d'arrière en avant! Black and blue aux couleurs des virages... Un chat gris est mort ce matin...
Published by jerome foulatier
30 juillet 2008
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17:55
Non ça ne va pas rendre!!! En promène couillon je fais le train...
Non j'irais après, je finis mon poème...
Non non & non!
Parce que mes yeux ne sont pas d'accord quant à la trajectoire des conjugaisons de chéferies...
Non non & non!
J'ai trop entendu d'inepties pour aujourd'hui!!! Je n'aime personne à part nova plume...
Non non & non!
Serre frein dis moi que le spectacle commence... J'me laisse trimballer aux guignols de l'info... Fais moi confiance, ma violence est sur la page...
Mais où est planqué ma guitare électrique? Reprendre du service aveugle? Une bulle se crève...
Rose plus noire que tes cheveux... Tiens te v'là gentil homme de bonne fortune?
Bah! moi j'vais dire où tu veux aller... Le papillon posé est un guerrier mort... Tu rendras les armes!!!
Published by jerome foulatier
30 juillet 2008
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14:44
Joueur de pétanque le petit cochon est mort, on fera peut-être des saucisses gourmandes... Je tire mon vers passe-muraille & pointe à la tranquille énigme en faisant des mathématiques à la source... Là où tes cheveux noirs allaient à la fraîcheur avant la nuit de tes clin-d'oeils... Rêveurs quand la poursuite d'une création, mais je me tiens l'épaule de ton encre méduse en plongeant du nez à la légende engloutie... Clair comme la pierre de ton nom qui navigue entre la roche & le cheval d'argent de tes désirs... Un regard en arrière chante tes volontés... Cette boule de fer strié des marques de la poussière...
Toi tu cherches le velours des arbres... Toi tu retournes à la parole... Les moments de calmes sont une bénédiction... Je fais une ronde à l'Oxit... Des triples croches au café... Des soupirs pour manger...
"Bonsoir messieu dame" Le cadrillage à fait une bulle, un carreau à l'hotel dieu avec des remorqueurs pour le cargo dans les brumes...
Comment parler de nous? Girouette société, médias & merveilles congelées...
"Dadi dadi dadi dada" J'aimerais toucher au plus profond des choses en gardant le vent de la cîme quand tu chantes.
Published by jerome foulatier
30 juillet 2008
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12:34
Tant qu'il y aura des guerres, comment ne pas fuir ou serrer des machoires? Devant ce qui emprisonne pour des vérités... Je ne chasserai plus les oiseaux de dieu...
21 Juillet Oxit beer du terroir... Les marronniers malades du jardin royal sont toujours debout... Trou de lumière à ma japonnaise... Un oiseau se pose... Chaleur d'un coeur qui palpite & c'est pour quelques miettes que j'ai couru!
Pousser un cri?
Trembler d'effroi & panser l'ange... Tout ce sang dans la jarre des artifices... Tout ce sang dans l'hystérie de la gloriole, mais moi avec mon canif je veux la taille de ton histoire... Coincé entre le nomadisme & le confort, j'attends seul la venu de tes chardons... Fleur du soleil, alcool de tes astres perdus...
"Je ne sais pas on va chercher"
Se remettre au jour dans les lenteurs des parfums... La longue nuit était un monologue à la flamme d'une lanterne... Je peux encore être au monde!
Venir avec la douceur diffuse, venir comme la vague de cette île, venir au chant des harmonies de la paix...
N'oubliez pas de mettre la clef dans le pot...
Published by jerome foulatier
